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Virtuel au bureau,

bientôt une réalité

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Virtuel au bureau, bientôt une réalité

On les pensait réservées aux gamers et autres fans de jeux en immersion. Peu à peu, les technologies de réalité

augmentée ou de réalité virtuelle font une entrée remarquée dans notre quotidien. Et dans la vie des entreprises.

Associées à l’IoT, à la maintenance prédictive ou à la visualisation des données en temps réel,

ces technologies ne tarderont pas à modifier et à améliorer les processus de collaboration en interne

comme les relations avec les clients. 

Il semblerait que les différents confinements aient accéléré le

processus de digitalisation dans la vie de tous les jours (apéros

et jeux virtuels entre amis, concert en live sur les réseaux

sociaux, séries à regarder en simultané etc.), mais également

dans les entreprises. Afin de s’imposer dans ce nouvel univers,

Facebook a complétement transformé le groupe rebaptisé

Meta depuis peu. Après avoir racheté la société Oculus VR

spécialisée dans les casques de réalité virtuelle, la société a

lancé Horizon World en 2020, un réseau social multi-joueurs

fonctionnant avec le casque VR Oculus. Le groupe Meta

s’attaque désormais au monde du travail avec le projet Horizon

Workrooms, qui propose d’utiliser le metavers pour permettre

aux collaborateurs de se retrouver au sein d’un même espace

pour communiquer et travailler à distance. Objectif :

réenchanter les réunions à distance en permettant aux

participants de retisser des liens, d’interagir de façon plus

naturelle et de gagner un sentiment de présence dans un

même espace.

Bien entendu, le groupe Meta ne sera pas seul dans l’aventure

du metavers professionnel : alors qu’Apple ou Alibaba

travaillent sur des concepts similaires, Microsoft se lance

également dans la bataille en officialisant Mesh pour Microsoft

Teams. Cette plateforme collaborative de réalité mixte pose un

pied dans le futur des réunions à distance avec des

fonctionnalités assez proches de celles de Workrooms.

Ces outils sont autant de moyens "de signaler que nous nous

trouvons dans le même espace virtuel, que nous formons une

équipe, un groupe, et de contribuer à abaisser le niveau de

formalité et à augmenter le niveau d'engagement", déclare

Jeff Teper vice-président de Microsoft en charge des outils de

productivité. "Nous avons constaté que ces outils ont atteint les

deux objectifs, à savoir aider une équipe à être plus efficace et

aider les individus à être plus engagés". À terme, Microsoft

souhaite que les expressions soient calquées sur celles de notre

visage grâce à la webcam. Mesh for Teams proposera

également la traduction et la transcription en direct

permettant ainsi de faciliter les échanges entre collaborateurs

du monde entier.

Prêts à travailler dans des bureaux en 4D ?

Les entreprises auront aussi la possibilité de créer leurs propres

espaces virtuels dans Teams. Ainsi Accenture a récemment

créé un campus virtuel pour ses collaborateurs qui s'est

rapidement avéré très utile pendant la pandémie en offrant

un cadre au sein duquel les employés peuvent se rencontrer,

prendre un café, faire des présentations, organiser des fêtes et

des événements ou accueillir les nouveaux collaborateurs.

Dès lors, on peut imaginer que ces technologies faciliteront le

travail à distance en le rendant plus engageant et efficace en

interne comme avec des clients. Car au-delà des technologies

de réalité augmentée, l’internet des objets (IoT), l’analyse et la

maintenance prédictive ou la visualisation de données en

temps réel, ces technologies récentes permettront d’adresser

de nombreuses problématiques métier, que ce soit dans

l’industrie, la grande distribution ou d’autres secteurs.

 

Imaginons que nous puissions appuyer sur un bouton et

visualiser l'état des systèmes ou qu’il soit possible d’afficher

à l‘écran les produits tout au long de la chaîne de création de

valeur… Imaginons que nous puissions éliminer les défaillances

avant qu'elles ne se produisent… Grâce à la possibilité de

cartographier l'ensemble du cycle de vie des produits, ces

scénarios sont désormais une réalité. De la conception à la

maintenance en passant par la vente, les produits peuvent être

cartographiés numériquement dans leur intégralité. Ainsi,

il devient possible de suivre l'ensemble du cycle de vie.

En général, ce type de scénario implique des applications

complexes, difficiles à utiliser et reposant sur un grand nombre

de systèmes distincts. Mais à l‘ère du numérique, il est possible

de simplifier cela, notamment grâce à la présence d’un ERP qui

sera d’autant plus efficace s’il interagit de manière transparente

avec d'autres logiciels (CRM, outils de BI, …).

Applications professionnelles infinies ?

Le deuxième facteur clé de ces scénarios est la maintenance

prédictive. Il existe aujourd'hui une multitude d'outils au service

de ce type de maintenance. En premier lieu : des capteurs IoT

installés sur les équipements concernés qui transmettent des

données en continu. Parmi une pléthore de d’informations,

seules les valeurs pertinentes sont sélectionnées, formatées si

nécessaire et utilisées pour obtenir des valeurs utiles sur l'état

d'une machine ou d’un système. Ces technologies permettent

de prévoir le moment où les seuils critiques pourraient être

dépassés et entrainer une panne, évitant ainsi des dépenses

importantes liées aux arrêts de production et réparations en

aval.

La maintenance prédictive permet ainsi de planifier les travaux

de maintenance et de les réaliser rapidement. Lorsqu'un

problème survient - ou lorsqu'une panne imminente est

annoncée- les réparations peuvent facilement être effectuées

avec l’aide des ingénieurs qui ont conçu les équipements sans

que ceux-ci soient obligés de se déplacer. Equipés d’un casque

de réalité augmentée, ils disposent de plusieurs outils pour

intervenir depuis leurs bureaux. On peut imaginer par exemple

qu’ils puissent charger directement la notice ou le plan de

l’équipement à réparer, stockés sur l’ERP. Sur place, les

techniciens peuvent également appliquer un plan de

maintenance, qui les guide étape par étape dans la réparation.

Les instructions s’affichent en surimpression de l’équipement

concerné grâce à la modélisation 3D. Enfin, si nécessaire,

on peut imaginer que la  pièce de rechange pourra être

commandée directement en activant le processus dans l’ERP,

directement depuis son casque.

Travailler ensemble sur un même projet comme si chacun était

dans la même pièce, plonger dans des plans en 3D, lire des

instructions en surimpression au fur et à mesure qu’on les met

en œuvre, réparer à distance, former des collaborateurs en les

mettant en situation réelle, améliorer les savoir-faire, redessiner

les métiers du consulting… on le pressent, les univers de réalité

alternatifs intégrés à l’ERP du futur n’ont pas fini de nous

étonner.

Travailler en mode projet

Imaginons un prototype de voiture. Un casque de VR sur la tête, chaque participant pourra examiner le prototype sous tous les angles. Un chef de projet pourra annoter le modèle avec un stylet , écrire une explication sur un tableau blanc interactif ou encore plonger un outil comme s’il était à l’intérieur du véhicule. Lors de la conception du véhicule, les différents pôles de l’entreprise pourront ainsi travailler ensemble à distance de manière fluide et hyper efficace.

Vous avez dit métavers ?

Le metaverse (ou métavers en français) désigne une

expérience immersive dans un environnement virtuel en trois dimensions où il est possible d’évoluer à travers un avatar ou un hologramme. "Le metaverse est un internet incarné où vous êtes dans l’expérience, et pas seulement en train de la regarder", explique Mark Zuckerberg. Dans cette réalité alternative il est possible de jouer mais aussi de discuter et de travailler à plusieurs en participant à une réunion ou à un projet commun. Le metaverse utilise les technologies de réalité augmentée (AR) ainsi que de réalité virtuelle (VR) pour créer un univers collectif et participatif dans lequel on retrouve l’ensemble des règles de communication verbale et non verbale du monde réel : gestes, expressions faciales et ton de voix.

Sources : siecledigital.fr, blogdumoderateur.com, blog-cosmo-consult-France, usinenouvelle.com

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Plus court, plus vite

On les pensait réservées aux gamers et autres fans de jeux en immersion. Peu à peu, les technologies de réalité augmentée ou de réalité virtuelle font une entrée remarquée dans notre quotidien. Et dans la vie des entreprises. Associées à l’IoT, à la maintenance prédictive ou à la visualisation des données en temps réel, ces technologies ne tarderont pas à modifier et à améliorer les processus de collaboration en interne comme les relations avec les clients. 

Il semblerait que les différents confinements aient accéléré le processus de digitalisation dans la vie de tous les jours (apéros et jeux virtuels entre amis, concert en live sur les réseaux sociaux, séries à regarder en simultané etc.), mais également dans les entreprises. Afin de s’imposer dans ce nouvel univers, Facebook a complétement transformé le groupe rebaptisé Meta depuis peu. Après avoir racheté la société Oculus VR spécialisée dans les casques de réalité virtuelle, la société a lancé Horizon World en 2020, un réseau social multi-joueurs fonctionnant avec le casque VR Oculus. Le groupe Meta s’attaque désormais au monde du travail avec le projet Horizon Workrooms, qui propose d’utiliser le metavers pour permettre aux collaborateurs de se retrouver au sein d’un même espace pour communiquer et travailler à distance. Objectif : réenchanter les réunions à distance en permettant aux participants de retisser des liens, d’interagir de façon plus naturelle et de gagner un sentiment de présence dans un même espace.

Bien entendu, le groupe Meta ne sera pas seul dans l’aventure du metavers professionnel : alors qu’Apple ou Alibaba travaillent sur des concepts similaires, Microsoft se lance également dans la bataille en officialisant Mesh pour Microsoft Teams. Cette plateforme collaborative de réalité mixte pose un pied dans le futur des réunions à distance avec des fonctionnalités assez proches de celles de Workrooms. Ces outils sont autant de moyens "de signaler que nous nous trouvons dans le même espace virtuel, que nous formons une équipe, un groupe, et de contribuer à abaisser le niveau de formalité et à augmenter le niveau d'engagement", déclare Jeff Teper vice-président de Microsoft en charge des outils de productivité. "Nous avons constaté que ces outils ont atteint les deux objectifs, à savoir aider une équipe à être plus efficace et aider les individus à être plus engagés". À terme, Microsoft souhaite que les expressions soient calquées sur celles de notre visage grâce à la webcam. Mesh for Teams proposera également la traduction et la transcription en direct permettant ainsi de faciliter les échanges entre collaborateurs du monde entier.

Prêts à travailler dans des bureaux en 4D ?

Les entreprises auront aussi la possibilité de créer leurs propres espaces virtuels dans Teams. Ainsi Accenture a récemment créé un campus virtuel pour ses collaborateurs qui s'est rapidement avéré très utile pendant la pandémie en offrant un cadre au sein duquel les employés peuvent se rencontrer,  prendre un café, faire des présentations, organiser des fêtes et des événements ou accueillir les nouveaux collaborateurs.

Dès lors, on peut imaginer que ces technologies faciliteront le travail à distance en le rendant plus engageant et efficace en interne comme avec des clients. Car au-delà des technologies de réalité augmentée, l’internet des objets (IoT), l’analyse et la maintenance prédictive ou la visualisation de données en temps réel, ces technologies récentes permettront d’adresser de nombreuses problématiques métier, que ce soit dans l’industrie, la grande distribution ou d’autres secteurs. 

Imaginons que nous puissions appuyer sur un bouton et visualiser l'état des systèmes ou qu’il soit possible d’afficher à l‘écran les produits tout au long de la chaîne de création de valeur… Imaginons que nous puissions éliminer les défaillances avant qu'elles ne se produisent… Grâce à la possibilité de cartographier l'ensemble du cycle de vie des produits, ces scénarios sont désormais une réalité. De la conception à la maintenance en passant par la vente, les produits peuvent être cartographiés numériquement dans leur intégralité. Ainsi, il devient possible de suivre l'ensemble du cycle de vie. En général, ce type de scénario implique des applications complexes, difficiles à utiliser et reposant sur un grand nombre de systèmes distincts. Mais à l‘ère du numérique, il est possible de simplifier cela, notamment grâce à la présence d’un ERP qui sera d’autant plus efficace s’il interagit de manière transparente avec d'autres logiciels (CRM, outils de BI, …).

Applications professionnelles infinies ?

Le deuxième facteur clé de ces scénarios est la maintenance prédictive. Il existe aujourd'hui une multitude d'outils au service de ce type de maintenance. En premier lieu : des capteurs IoT installés sur les équipements concernés qui transmettent des données en continu. Parmi une pléthore de d’informations, seules les valeurs pertinentes sont sélectionnées, formatées si nécessaire et utilisées pour obtenir des valeurs utiles sur l'état d'une machine ou d’un système. Ces technologies permettent de prévoir le moment où les seuils critiques pourraient être dépassés et entrainer une panne, évitant ainsi des dépenses importantes liées aux arrêts de production et réparations en aval.

La maintenance prédictive permet ainsi de planifier les travaux de maintenance et de les réaliser rapidement. Lorsqu'un problème survient - ou lorsqu'une panne imminente est annoncée- les réparations peuvent facilement être effectuées avec l’aide des ingénieurs qui ont conçu les équipements sans que ceux-ci soient obligés de se déplacer. Equipés d’un casque de réalité augmentée, ils disposent de plusieurs outils pour intervenir depuis leurs bureaux. On peut imaginer par exemple qu’ils puissent charger directement la notice ou le plan de l’équipement à réparer, stockés sur l’ERP. Sur place, les techniciens peuvent également appliquer un plan de maintenance, qui les guide étape par étape dans la réparation. Les instructions s’affichent en surimpression de l’équipement concerné grâce à la modélisation 3D. Enfin, si nécessaire, on peut imaginer que la  pièce de rechange pourra être commandée directement en activant le processus dans l’ERP, directement depuis son casque.

Travailler ensemble sur un même projet comme si chacun était dans la même pièce, plonger dans des plans en 3D, lire des instructions en surimpression au fur et à mesure qu’on les met en œuvre, réparer à distance, former des collaborateurs en les mettant en situation réelle, améliorer les savoir-faire, redessiner les métiers du consulting… on le pressent, les univers de réalité alternatifs intégrés à l’ERP du futur n’ont pas fini de nous étonner. 

Travailler en mode projet 

 

Imaginons un prototype de voiture. Un casque de VR sur la tête, chaque participant pourra examiner le prototype sous tous les angles. Un chef de projet pourra annoter le modèle avec un stylet , écrire une explication sur un tableau blanc interactif ou encore plonger un outil comme s’il était à l’intérieur du véhicule. Lors de la conception du véhicule, les différents pôles de l’entreprise pourront ainsi travailler ensemble à distance de manière fluide et hyper efficace.

A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique

que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,

la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.

Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.

Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.

Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.

Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.

Comptable en uniforme

Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour

s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.

Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.

Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement

chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard

il intègre l’ESN Viseo. 

Premiers contacts

Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics. 

 "De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°

Vous avez dit métavers ?

 

Le metaverse (ou métavers en français) désigne une expérience immersive dans un environnement virtuel en trois dimensions où il est possible d’évoluer à travers un avatar ou un hologramme. "Le metaverse est un internet incarné où vous êtes dans l’expérience, et pas seulement en train de la regarder", explique Mark Zuckerberg. Dans cette réalité alternative il est possible de jouer mais aussi de discuter et de travailler à plusieurs en participant à une réunion ou à un projet commun. Le metaverse utilise les technologies de réalité augmentée (AR) ainsi que de réalité virtuelle (VR) pour créer un univers collectif et participatif dans lequel on retrouve l’ensemble des règles de communication verbale et non verbale du monde réel : gestes, expressions faciales et ton de voix. 

Sources : siecledigital.fr, blogdumoderateur.com, blog-cosmo-consult-France, usinenouvelle.com

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