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Panique à bord !

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Panique à bord !

Ex filiale d’ArcelorMittal rachetée en 2019

par l’allemand Mutares, puis dernièrement par

LiCap GmbH, TrefilUnion est spécialisée dans

les produits tréfilés. Charles Toutain, son CEO,

retrace l’intervention de FiveForty° dans un

contexte tendu comme un fil d’acier. 

En premier lieu, voulez-vous nous parler de votre domaine

d’activité et des spécificités de l’entreprise ?

Charles Toutain : Comme son nom l’indique, TrefilUnion

est spécialisé dans la fabrication de fils et de torons d’acier

pour servir une grande variété d’applications. Nous destinons

nos produits à l’automobile, la construction, l’énergie, les

infrastructures jusqu’à l’électroménager. Nous fabriquons aussi

bien des ressorts fins pour l’automobile que des produits lourds

pour les ponts et les aciers précontraints.

Quel est le contexte de l’intervention de FiveForty° ?

CT : A l’origine, avec le précédent intégrateur, nous avions

paramétré en priorité l’ensemble de la partie finance.

L’objectif était d’être fin prêts pour le basculement dans un

deuxième temps de la partie opérations. Mais, pour employer

un euphémisme, cela ne s’est pas très bien passé… 

"Un mauvais paramétrage"

Pour quelle raison ?

CT : C’est davantage un faisceau de raisons. Parmi celles-ci,

l’implication insuffisante d’un directeur financier qui a laissé

l’intégrateur en roue libre sur le paramétrage. Ensuite en janvier

2020, mise en live partielle sans la partie opérations.

Puis, l’arrivée de la Covid retarde le basculement en octobre,

bien plus tard que prévu. Nous n’avions pas le choix car nous

devions être déconnectés de l’ERP d’ArcelorMittal au 1er

octobre, et donc être autonomes aussi bien sur la partie

opérations que sur le volet finance.

A un moment, la situation est devenue compliquée

CT : Tant bien que mal, nous avions démarré en même temps

les opérations et la finance. Mais les équipes finance n’ont réagi

que fin octobre aux modules mis en place un an auparavant.

Résultat : panique générale ! Les premières clôtures mensuelles

tournaient à la catastrophe avec en plus des actionnaires qui

demandaient les premiers résultats.

Comment avez-vous engagé FiveForty° ?

CT : Nous avions tout d’abord travaillé avec Maciré pour

reconnecter avec la partie finance. Il faisait un bon travail,

ça matchait bien avec les équipes et notre DAF. On s’est dit

que connaissant le contexte, Maciré pouvait être l’homme de

la situation sans repartir de zéro. A l’époque nous pensions qu’il

était placé par le premier intégrateur. J’ai compris par la suite

que Maciré était un consultant finance de FiveForty°.

Nous avons alors engagé l’opération de sous-traitance dans son

ensemble avec FiveForty°.

Quel bilan tirez-vous de l’intervention ?

CT : Tout s’est parfaitement déroulé. Je remarque que la

compétence métier de FiveForty° n’est pas usurpée. Et qu’au

passage, celle-ci est plutôt rare chez les intégrateurs !

Qu’appréciez-vous le plus dans leur prestation ?

CT : Ils ont repris une situation à la volée et ont fait preuve,

au-delà de leur réactivité, d’une compétence fonctionnelle et

technique qui a rassuré tout le monde. Ils ont été sollicités au

pied levé, ont répondu présent. Tout en jouant le jeu avec

l’intégrateur déjà en place.

"Projets d'avenir"

Pour évoquer FiveForty que diriez-vous ?

CT : Je dirais qu’ils incarnent bien leur leimotiv “redonner

confiance aux utilisateurs dans l’outil ERP”. Et ce, même

dans les situations les plus critiques.

Selon vous, en quoi FiveForty se distingue des autres ?

CT : Ils ont su marquer leur identité par une concentration de

compétences finance dans leurs équipes ainsi que par une offre

Power BI qui les font vraiment sortir du lot.

Sur quels autres sujets pourriez-vous solliciter FiveForty°

à l’avenir ?

CT : Aujourd’hui, je gère plusieurs sociétés et je n’ai pas assez

de temps pour aller chercher les infos dans le système pour

extraire des tableaux de bord quotidiens. J’envisage donc

d’implémenter Power BI. Je sais qu’ils ont cette maîtrise de

l’outil et qu’ils pourront nous accompagner avec une équipe

dédiée.

Plus court, plus vite

Ex filiale d’ArcelorMittal rachetée en 2019 par l’allemand Mutares, puis dernièrement par LiCap GmbH, TrefilUnion est spécialisée dans les produits tréfilés. Charles Toutain, son CEO, retrace l’intervention de FiveForty° dans un contexte tendu comme un fil d’acier. 

A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique

que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,

la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.

Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.

Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.

Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.

Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.

Comptable en uniforme

Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour

s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.

Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.

Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement

chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard

il intègre l’ESN Viseo. 

En premier lieu, voulez-vous nous parler de votre domaine d’activité et des spécificités de l’entreprise ?

Charles Toutain :  Comme son nom l’indique, TrefilUnion est spécialisé dans la fabrication de fils et de torons d’acier pour servir une grande variété d’applications. Nous destinons nos produits à l’automobile, la construction, l’énergie, les infrastructures jusqu’à l’électroménager. Nous fabriquons aussi bien des ressorts fins pour l’automobile que des produits lourds pour les ponts et les aciers précontraints.

Premiers contacts

Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics. 

 "De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°

Quel est le contexte de l’intervention de FiveForty° ?

CT : A l’origine, avec le précédent intégrateur, nous avions paramétré en priorité l’ensemble de la partie finance. L’objectif était d’être fin prêts pour le basculement dans un deuxième temps de la partie opérations. Mais, pour employer un euphémisme, cela ne s’est pas très bien passé… 

"Un mauvais paramétrage"

Pour quelle raison ?

CT : C’est davantage un faisceau de raisons. Parmi celles-ci, l’implication insuffisante d’un directeur financier qui a laissé l’intégrateur en roue libre sur le paramétrage. Ensuite en janvier 2020, mise en live partielle sans la partie opérations. Puis, l’arrivée de la Covid retarde le basculement en octobre, bien plus tard que prévu. Nous n’avions pas le choix car nous devions être déconnectés de l’ERP d’ArcelorMittal au 1er octobre, et donc être autonomes aussi bien sur la partie opérations que sur le volet finance.

A un moment, la situation est devenue compliquée

CT : Tant bien que mal, nous avions démarré en même temps les opérations et la finance. Mais les équipes finance n’ont réagi que fin octobre aux modules mis en place un an auparavant. Résultat : panique générale ! Les premières clôtures mensuelles tournaient à la catastrophe avec en plus des actionnaires qui demandaient les premiers résultats.

Comment avez-vous engagé FiveForty° ?

CT : Nous avions tout d’abord travaillé avec Maciré pour reconnecter avec la partie finance. Il faisait un bon travail, ça matchait bien avec les équipes et notre DAF. On s’est dit que connaissant le contexte, Maciré pouvait être l’homme de la situation sans repartir de zéro. A l’époque nous pensions qu’il était placé par le premier intégrateur. J’ai compris par la suite que Maciré était un consultant finance de FiveForty°. Nous avons alors engagé l’opération de sous-traitance dans son ensemble avec FiveForty°.

Quel bilan tirez-vous de l’intervention ?

CT : Tout s’est parfaitement déroulé. Je remarque que la compétence métier de FiveForty° n’est pas usurpée. Et qu’au passage, celle-ci est plutôt rare chez les intégrateurs !

Qu’appréciez-vous le plus dans leur prestation ?

CT : Ils ont repris une situation à la volée et ont fait preuve, au-delà de leur réactivité, d’une compétence fonctionnelle et technique qui a rassuré tout le monde. Ils ont été sollicités au pied levé, ont répondu présent. Tout en jouant le jeu avec l’intégrateur déjà en place.

"Projets d'avenir"

Pour évoquer FiveForty que diriez-vous ?

CT : Je dirais qu’ils incarnent bien leur leimotiv “redonner confiance aux utilisateurs dans l’outil ERP”. Et ce, même dans les situations les plus critiques.

Selon vous, en quoi FiveForty se distingue des autres ?

CT : Ils ont su marquer leur identité par une concentration de compétences finance dans leurs équipes ainsi que par une offre Power BI qui les font vraiment sortir du lot.

Sur quels autres sujets pourriez-vous solliciter FiveForty° à l’avenir ?

CT : Aujourd’hui, je gère plusieurs sociétés et je n’ai pas assez de temps pour aller chercher les infos dans le système pour extraire des tableaux de bord quotidiens. J’envisage donc d’implémenter Power BI. Je sais qu’ils ont cette maîtrise de l’outil et qu’ils pourront nous accompagner avec une équipe dédiée.

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