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Michel Adda

Théo Quémar

En mode code

Bonne étoile

Né à Rennes sur l’Arc atlantique, Théo va vite accrocher plusieurs cordes au sien. 

Après une scolarité dans sa Bretagne natale, il s’oriente sur un BTS en services informatiques des organisations. Sa mère enseignante lui fait part d’un article sur le lancement d’une école d’un tout nouveau genre : l’Ecole 42. Xavier Niel, son fondateur, y explique sa vision. Elle entre en résonance avec la corde sensible de Théo : le code.

"FiveForty° est en pleine expansion, c’est une ESN attractive aussi bien

pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui

pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés". 

Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui

demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie

Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton

enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire

les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient

d’une enfance heureuse dansun cocon familial douillet.

Théo Quémar

En mode code

Né à Rennes sur l’Arc atlantique,

Théo va vite accrocher plusieurs cordes au sien.

Après une scolarité dans sa Bretagne natale, il s’oriente sur un BTS

en services informatiques des organisations. Sa mère enseignante

lui fait part d’un article sur le lancement d’une école d’un tout nouveau

genre : l’Ecole 42. Xavier Niel, son fondateur, y explique sa vision.

Elle entre en résonance avec la corde sensible de Théo : le code.

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"Désolé, j'ai piscine !"

Enthousiaste, il abandonne le BTS et passe une série de tests en ligne. Il est admis dans la

première promotion de l’Ecole 42. "Même si le programme, la méthode et le cursus me

parlaient, l’école venait d’ouvrir. C’était quand même un pari risqué", admet-il. Des Macs

partout sur trois étages, des open spaces géants, des pièces de vie, une ouverture H24,

"ça donnait envie d’aller bosser", s’enthousiasme Théo. Nouvelle école mais aussi nouveau

principe. Seuls prérequis pour les étudiants : la motivation, le digital dans le sang et une

endurance à l’épreuve des balles. Une ambiance militaire attend Théo : "j’ai d’abord fait

connaissance avec la Piscine."

Pendant un mois, évaluations et notations permanentes. Un sacré baptême du feu.

Le système éducatif est calqué sur celui des jeux vidéo. Les étudiants démarrent au niveau

zéro avec des premiers projets qu’ils doivent débloquer pour passer au niveau supérieur, avec

des projets toujours plus complexes jusqu’au vingt-et-unième niveau. Au septième, Théo

s’ouvre la porte des stages. Quelques temps après, il sera de l’inauguration de Station F avec

des amis de 42. Théo a atteint le niveau 7. Avant son stage, il fait la connaissance à Paris d’une

amie américaine. Il envisage de la rejoindre et souhaite compléter sa formation aux Etats-Unis.

De Berkeley à Manchester

Arrivé en Californie, il s’inscrit au Berkeley City College et suit un cursus plus général.

Il perfectionne son anglais et suit quelques cours dans les amphis de UC Berkeley.

De retour à Paris, il attaque ensuite un stage à Manchester. La société où il travaille trouve

des prêts aux personnes souhaitant profiter de chirurgie plastique et assure la mise en

contact avec les chirurgiens. Quand Théo revient d’Angleterre, est-ce dû au climat, sa motivation

est un peu grippée. Théo a envie d’entrer dans la vie active. Pour y arriver plus vite, il choisit le

statut de free-lance. "Là encore, ce n’était pas une solution de confort, mais l’action m’attirait

et mon savoir acquis en informatique me rassurait", estime Théo avec le recul.

Il se lance dans la conception de sites internet. Le Grand Rex lui fait confiance. Mais le besoin

de stabilité se fait jour. Dans le cadre d’une soirée, il croise un ami d’ami, Alexandre, qui lui

parle des projets qu’il mène. Le temps passe et Alexandre le rappelle et lui propose un

entretien avec Jérôme de FiveForty°. "Je sors de l’entretien avec une impression étrange.

Jérôme, la référence du développement, me posait mille questions sur ma connaissance de

telle ou telle technologie. Je n’en connaissais pratiquement aucune…", confie Théo.

Partage d'expertises

Pourtant, Alexandre lui recommande de ne pas s’inquiéter. Trois mois plus tard, ce dernier

lui demande s’il veut commencer la semaine suivante. A son arrivée chez FiveForty° sur le

projet Lagardère Jérôme forme Théo sur l’application Tyndareus qu’il avait développée pour

Relay. Aujourd’hui, chez FiveForty°, il apprécie le contexte de technologies de pointe et le

partage d’expertise. Il se forme aussi à Power BI et s’occupe du développement du site et du

SEO. "Les afterworks sont très sympas aussi. Débriefer la journée de travail tous ensemble en

mode potes, c’est cool aussi", pointe Théo. Côté jardin, Théo parle aussi de beach volley qu’il

pratique en club. Il a repris des cours de piano qu’il suivait enfant. Il s’y est fait un nouvel ami.

Un véritable prodige : "à quinze ans, il est juste incroyable et m’apprend énormément de choses."

Et s’il n’avait pas travaillé dans l’informatique ? : "je me serais bien imaginé pratiquer

un métier quelque part au bord de l’océan", envisage Théo, tout à ses embruns de Bretagne

où il est actuellement en télétravail.°

Plus court, plus vite

"Désolé j'ai piscine !"

Enthousiaste, il abandonne le BTS et passe une série de tests en ligne. Il est admis dans la première promotion de l’Ecole 42. "Même si le programme, la méthode et le cursus me parlaient, l’école venait d’ouvrir. C’était quand même un pari risqué", admet-il. Des Macs partout sur trois étages, des open spaces géants, des pièces de vie, une ouverture H24, "ça donnait envie d’aller bosser", s’enthousiasme Théo. Nouvelle école mais aussi nouveau principe. Seuls prérequis pour les étudiants : la motivation, le digital dans le sang et une endurance à l’épreuve des balles. Une ambiance militaire attend Théo : "j’ai d’abord fait connaissance avec la Piscine."

Pendant un mois, évaluations et notations permanentes. Un sacré baptême du feu. Le système éducatif est calqué sur celui des jeux vidéo. Les étudiants démarrent au niveau zéro avec des premiers projets qu’ils doivent débloquer pour passer au niveau supérieur, avec des projets toujours plus complexes jusqu’au vingt-et-unième niveau. Au septième, Théo s’ouvre la porte des stages. Quelques temps après, il sera de l’inauguration de Station F avec des amis de 42. Théo a atteint le niveau 7. Avant son stage, il fait la connaissance à Paris d’une amie américaine. Il envisage de la rejoindre et souhaite compléter sa formation aux Etats-Unis.

A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique

que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,

la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.

Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.

Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.

Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.

Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.

Comptable en uniforme

Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour

s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.

Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.

Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement

chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard

il intègre l’ESN Viseo. 

De Berkeley à Manchester

Premiers contacts

Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics. 

 "De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°

Arrivé en Californie, il s’inscrit au Berkeley City College et suit un cursus plus général. Il perfectionne son anglais et suit quelques cours dans les amphis de UC Berkeley. De retour à Paris, il attaque ensuite un stage à Manchester. La société où il travaille trouve des prêts aux personnes souhaitant profiter de chirurgie plastique et assure la mise en contact avec les chirurgiens. Quand Théo revient d’Angleterre, est-ce dû au climat, sa motivation est un peu grippée. Théo a envie d’entrer dans la vie active. Pour y arriver plus vite, il choisit le statut de free-lance. "Là encore, ce n’était pas une solution de confort, mais l’action m’attirait et mon savoir acquis en informatique me rassurait", estime Théo avec le recul.

Il se lance dans la conception de sites internet. Le Grand Rex lui fait confiance. Mais le besoin de stabilité se fait jour. Dans le cadre d’une soirée, il croise un ami d’ami, Alexandre, qui lui parle des projets qu’il mène. Le temps passe et Alexandre le rappelle et lui propose un entretien avec Jérôme de FiveForty°. "Je sors de l’entretien avec une impression étrange. Jérôme, la référence du développement, me posait mille questions sur ma connaissance de telle ou telle technologie. Je n’en connaissais pratiquement aucune…", confie Théo.

Partage d'expertises

Pourtant, Alexandre lui recommande de ne pas s’inquiéter. Trois mois plus tard, ce dernier lui demande s’il veut commencer la semaine suivante. A son arrivée chez FiveForty° sur le projet Lagardère Jérôme forme Théo sur l’application Tyndareus qu’il avait développée pour Relay. Aujourd’hui, chez FiveForty°, il apprécie le contexte de technologies de pointe et le partage d’expertise. Il se forme aussi à Power BI et s’occupe du développement du site et du SEO. "Les afterworks sont très sympas aussi. Débriefer la journée de travail tous ensemble en mode potes, c’est cool aussi", pointe Théo. Côté jardin, Théo parle aussi de beach volley qu’il pratique en club. Il a repris des cours de piano qu’il suivait enfant. Il s’y est fait un nouvel ami. Un véritable prodige : "à quinze ans, il est juste incroyable et m’apprend énormément de choses." Et s’il n’avait pas travaillé dans l’informatique ? : "je me serais bien imaginé pratiquer un métier quelque part au bord de l’océan", envisage Théo, tout à ses embruns de Bretagne où il est actuellement en télétravail.° 

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