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Industrie 4.0 et ERP :

viva la révolución !

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Industrie 4.0 et ERP : viva la révolución !

Nommée aussi Industrie 4.0, la quatrième révolution industrielle ne ressemble à rien

de ce que l’humanité a vécu auparavant.

Cette révolution technologique modifie les fondements de nos façons de vivre,

de travailler et d’interagir les uns avec les autres.

Un nouveau contexte aussi où l’ERP va s’avérer un outil de maîtrise déterminant.

La complexité de la quatrième révolution industrielle

ne permet pas de la définir aussi simplement que celles qui

l’ont précédée : on peut la décrire toutefois comme un

processus qui tend à "brouiller les frontières entre les espaces

physiques, numériques et biologiques" depuis la fin du

vingtième siècle.

En effet, les individus peuvent désormais être interconnectés

grâce à l’introduction d’appareils mobiles qui se jouent des

distances. Depuis trente ans, ces capacités se multiplient,

accompagnées de grappes d’innovations telles que l’IA,

la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes,

l’impression 3D, les nanotechnologies, la biotechnologie,

la science des matériaux, le stockage de l’énergie et

l’informatique quantique…

Il était une fois les révolutions

Cette révolution est la continuité d’une série de

transformations. Au début du XVIIIe siècle, la première

révolution industrielle a utilisé l’eau et la vapeur pour mécaniser

la production. À noter : la rupture dans le secteur des transports

avec l’apparition du chemin de fer au pays de Galles.

La deuxième révolution a permis la compréhension de l’énergie

électrique et son déploiement pour créer une production de

masse. Enfin, la troisième révolution concerne essentiellement

l’apparition de l’ordinateur et d’Internet, révolutionnant ainsi les

technologies de l’information pour automatiser la production.

Aujourd’hui, une quatrième révolution industrielle s’appuie sur

la révolution numérique. Trois raisons permettent d’affirmer

pourquoi les transformations d’aujourd’hui ne représentent

pas simplement une prolongation de la troisième révolution

industrielle.

3 facteurs clés caractérisent

la 4ème révolution industrielle

 

• La vélocité des transformations 

Contrairement aux précédentes révolutions industrielles,

la quatrième révolution industrielle progresse à un rythme

exponentiel, résultat d’une course à l’innovation menée

par les pays occidentaux, les pays émergents ainsi que

l’apparition d’entreprises à la puissance comparable à

celles de certains États (GAFAM aux USA, BATX en Chine…).

 

• La portée et la profondeur des innovations  

Cette quatrième révolution combine de multiples

technologies à la fois matérielles (Imprimantes 3D,

véhicules autonomes, nouveaux matériaux…), digitales

(Internet des objets, quantique…) et biologiques (génétique,

homme augmenté…) qui redéfinissent à la fois comment

nous vivons et pour la première fois qui nous sommes.

 

• L’impact sur les organisations  

Cela implique la transformation de systèmes entiers,

comme les institutions des pays, les entreprises,

les industries et la société dans son ensemble.

Au bénéfice de qui ?

“Innovation : toujours dangereuse” écrivait Gustave Flaubert

dans son ouvrage Dictionnaire des idées reçues. La quatrième

révolution industrielle et sa grappe d’innovations sont-elles une

menace pour notre société ? En effet, chaque innovation

entraîne un processus de destruction créatrice avertissait

l’économiste Joseph Schumpeter.

La disparition d’activités productives remplacées par de

nouvelles activités du fait du progrès technique est perçue

comme génératrice d’inégalités entre les personnes.

L’automatisation tendant à réduire le nombre d’emplois peu

qualifiés, les individus disposant de compétences les plus

qualifiées sont plus fortement plébiscités. Les questions qui se

posent inévitablement sont donc : à qui profite cette révolution

industrielle ? Comment en faire bénéficier le plus grand

nombre ?

Du côté des entreprises

La quatrième révolution industrielle génère nombre

d’opportunités dans tous les domaines et notamment

pour le B2B.

• Les attentes des clients évoluent. L’expérience Apple, par

exemple, ne concerne pas seulement l’utilisation du produit,

mais s’appuie aussi sur le packaging, la marque, les achats et

le service client. De même, les approches traditionnelles de la

segmentation démographique évoluent vers un ciblage par

critère numérique où les clients potentiels peuvent être

identifiés en fonction de leur volonté de partager des données

et d’interagir.

• Les produits et services sont enrichis par les données qui

améliorent la productivité et la rentabilité des actifs. Tesla, par

exemple, montre comment les mises à jour des logiciels et la

connectivité peuvent être utilisées pour améliorer un produit

(ici, une voiture) après l’achat plutôt que de le laisser se

déprécier avec le temps.

• De nouveaux partenariats se forment au fur et à mesure que

les entreprises comprennent l’importance de nouvelles formes

de collaborations. D’abord, les entreprises développent leurs

partenariats B2B et sous-traitent une partie de leurs activités

à des entreprises expertes, notamment dans le digital

(développement, data analyse et science…). De même, les

entreprises capables de combiner plusieurs dimensions –

numérique, physique et biologique – réussissent souvent à

perturber tout un écosystème industriel, du système de

production à la consommation. La popularité d’Uber dans de

nombreuses villes s’explique par la combinaison d’une

expérience client améliorée avec une application (digital),

le transport du produit physique en optimisant l’utilisation

de l’actif (le moyen de transport utilisé par le livreur).

L’ERP à la rescousse !

Les technologies qui sous-tendent la quatrième révolution

industrielle ont un impact majeur sur la manière dont les

entreprises sont dirigées, organisées et financées.

De leur côté, les dirigeants et cadres supérieurs sont souvent

confrontés à une nouvelle problématique. À savoir que le

déluge d’informations disponibles aujourd’hui, la vitesse de

rupture et l’accélération de l’innovation sont difficiles

à comprendre comme à anticiper.

Cette complexité peut être maîtrisée avec les bons outils.

Les systèmes ERP notamment jouent un rôle essentiel pour

centraliser les informations et aider à la juste prise de décision !

Grâce aux nouvelles innovations telles que le cloud, l’IA et le

machine learning, l’ERP ne se contentera pas d’être une

interface centralisant la donnée, mais s’imposera plus que

jamais dans une fonction de conseil en finance, en gestion des

ressources humaines, en production et en supply chain… Les

ERP ont déjà entamé leur transformation : ces progiciels sont

désormais ouverts aux extensions afin d’ajouter les bonnes

fonctionnalités. La personnalisation des ERP pour les

entreprises continue d’être améliorée, ce qui témoigne encore

de l’importance de l’expérience client dans le B2B. Toutefois, les

progrès attendus laissent rêveur ! Imaginez, par exemple, une

interface ERP intégrée à des lunettes 3D dans une chaîne de

production. Elle permettrait d’avoir les informations de

productivité en direct de chaque poste, avec une intelligence

artificielle suggérant d’allouer les ressources différemment pour

améliorer la productivité. De la même manière, imaginez un

ERP collaboratif partagé entre plusieurs entreprises

s’améliorant en permanence au fil des données collectées

grâce au machine learning, gagnant ainsi de la valeur au fur et

à mesure que des entreprises l’adoptent. Tout en conservant les

données de manière sécurisée grâce aux technologies

blockchain. Un rêve ? Non. Toutes ces révolutions sont en cours

de développement !  

En conclusion, la quatrième révolution industrielle donne à

l’ERP encore plus de sens pour dompter la complexité et le

volume vertigineux d’informations disponibles et collectées.

Il devient donc crucial d’être doté des dernières innovations et

de garder un ERP actualisé et ouvert sur le futur.

Sources :

. The Fourth Industrial Revolution, Klaus Schwab

https://law.unimelb.edu.au/__data/assets/pdf_file/0005/3385454/Schwab-The_Fourth_Industrial_Revolution_Klaus_S.pdf

. How the factory of today becomes the factory of the future, EY Study

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_industrielle

. Industry 4.0 How to navigate digitization of the manufacturing sector, McKinsey Digital 2015

https://www.mckinsey.com/~/media/McKinsey/Business%20Functions/Operations/Our%20Insights/Industry%2040%20How%20to%20navigate%20digitization%20of%20the%20manufacturing%20sector/Industry-40-How-to-navigate-digitization-of-the-manufacturing-sector.as

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Plus court, plus vite

Nommée aussi Industrie 4.0, la quatrième révolution industrielle ne ressemble à rien de ce que l’humanité a vécu auparavant. Cette révolution technologique modifie les fondements de nos façons de vivre, de travailler et d’interagir les uns avec les autres. Un nouveau contexte aussi où l’ERP va s’avérer un outil de maîtrise déterminant.

La complexité de la quatrième révolution industrielle ne permet pas de la définir aussi simplement que celles qui l’ont précédée : on peut la décrire toutefois comme un processus qui tend à "brouiller les frontières entre les espaces physiques, numériques et biologiques" depuis la fin du vingtième siècle.

En effet, les individus peuvent désormais être interconnectés grâce à l’introduction d’appareils mobiles qui se jouent des distances. Depuis trente ans, ces capacités se multiplient, accompagnées de grappes d’innovations telles que l’IA, la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression 3D, les nanotechnologies, la biotechnologie, la science des matériaux, le stockage de l’énergie et l’informatique quantique…

Il était une fois les révolutions

Cette révolution est la continuité d’une série de transformations. Au début du XVIIIe siècle, la première révolution industrielle a utilisé l’eau et la vapeur pour mécaniser la production. À noter : la rupture dans le secteur des transports avec l’apparition du chemin de fer au pays de Galles. La deuxième révolution a permis la compréhension de l’énergie électrique et son déploiement pour créer une production de masse. Enfin, la troisième révolution concerne essentiellement l’apparition de l’ordinateur et d’Internet, révolutionnant ainsi les technologies de l’information pour automatiser la production. Aujourd’hui, une quatrième révolution industrielle s’appuie sur la révolution numérique. Trois raisons permettent d’affirmer pourquoi les transformations d’aujourd’hui ne représentent pas simplement une prolongation de la troisième révolution industrielle.

3 facteurs clés caractérisent la 4ème révolution industrielle

 

• La vélocité des transformations  

Contrairement aux précédentes révolutions industrielles, la quatrième révolution industrielle progresse à un rythme exponentiel, résultat d’une course à l’innovation menée par les pays occidentaux, les pays émergents ainsi que l’apparition d’entreprises à la puissance comparable à celles de certains États (GAFAM aux USA, BATX en Chine…).

 

• La portée et la profondeur des innovations 

Cette quatrième révolution combine de multiples technologies à la fois matérielles (Imprimantes 3D, véhicules autonomes, nouveaux matériaux…), digitales (Internet des objets, quantique…) et biologiques (génétique, homme augmenté…) qui redéfinissent à la fois comment nous vivons et pour la première fois qui nous sommes.

 

• L’impact sur les organisations 

Cela implique la transformation de systèmes entiers, comme les institutions des pays, les entreprises, les industries et la société dans son ensemble.

Au bénéfice de qui ?

“Innovation : toujours dangereuse” écrivait Gustave Flaubert dans son ouvrage Dictionnaire des idées reçues. La quatrième révolution industrielle et sa grappe d’innovations sont-elles une menace pour notre société ? En effet, chaque innovation entraîne un processus de destruction créatrice avertissait l’économiste Joseph Schumpeter.

La disparition d’activités productives remplacées par de nouvelles activités du fait du progrès technique est perçue comme génératrice d’inégalités entre les personnes. L’automatisation tendant à réduire le nombre d’emplois peu qualifiés, les individus disposant de compétences les plus qualifiées sont plus fortement plébiscités. Les questions qui se posent inévitablement sont donc : à qui profite cette révolution industrielle ? Comment en faire bénéficier le plus grand nombre ?

Du côté des entreprises

La quatrième révolution industrielle génère nombre d’opportunités dans tous les domaines et notamment pour le B2B.

• Les attentes des clients évoluent. L’expérience Apple, par exemple, ne concerne pas seulement l’utilisation du produit, mais s’appuie aussi sur le packaging, la marque, les achats et le service client. De même, les approches traditionnelles de la segmentation démographique évoluent vers un ciblage par critère numérique où les clients potentiels peuvent être identifiés en fonction de leur volonté de partager des données et d’interagir.

• Les produits et services sont enrichis par les données qui améliorent la productivité et la rentabilité des actifs. Tesla, par exemple, montre comment les mises à jour des logiciels et la connectivité peuvent être utilisées pour améliorer un produit (ici, une voiture) après l’achat plutôt que de le laisser se déprécier avec le temps.

• De nouveaux partenariats se forment au fur et à mesure que les entreprises comprennent l’importance de nouvelles formes de collaborations. D’abord, les entreprises développent leurs partenariats B2B et sous-traitent une partie de leurs activités à des entreprises expertes, notamment dans le digital (développement, data analyse et science…). De même, les entreprises capables de combiner plusieurs dimensions – numérique, physique et biologique – réussissent souvent à perturber tout un écosystème industriel, du système de production à la consommation. La popularité d’Uber dans de nombreuses villes s’explique par la combinaison d’une expérience client améliorée avec une application (digital), le transport du produit physique en optimisant l’utilisation de l’actif (le moyen de transport utilisé par le livreur).

L’ERP à la rescousse !

Les technologies qui sous-tendent la quatrième révolution industrielle ont un impact majeur sur la manière dont les entreprises sont dirigées, organisées et financées.

De leur côté, les dirigeants et cadres supérieurs sont souvent confrontés à une nouvelle problématique. À savoir que le déluge d’informations disponibles aujourd’hui, la vitesse de rupture et l’accélération de l’innovation sont difficiles à comprendre comme à anticiper. 

Cette complexité peut être maîtrisée avec les bons outils. Les systèmes ERP notamment jouent un rôle essentiel pour centraliser les informations et aider à la juste prise de décision ! 

Grâce aux nouvelles innovations telles que le cloud, l’IA et le machine learning, l’ERP ne se contentera pas d’être une interface centralisant la donnée, mais s’imposera plus que jamais dans une fonction de conseil en finance, en gestion des ressources humaines, en production et en supply chain… Les ERP ont déjà entamé leur transformation : ces progiciels sont désormais ouverts aux extensions afin d’ajouter les bonnes fonctionnalités. La personnalisation des ERP pour les entreprises continue d’être améliorée, ce qui témoigne encore de l’importance de l’expérience client dans le B2B. Toutefois, les progrès attendus laissent rêveur ! Imaginez, par exemple, une interface ERP intégrée à des lunettes 3D dans une chaîne de production. Elle permettrait d’avoir les informations de productivité en direct de chaque poste, avec une intelligence artificielle suggérant d’allouer les ressources différemment pour améliorer la productivité. De la même manière, imaginez un ERP collaboratif partagé entre plusieurs entreprises s’améliorant en permanence au fil des données collectées grâce au machine learning, gagnant ainsi de la valeur au fur et à mesure que des entreprises l’adoptent. Tout en conservant les données de manière sécurisée grâce aux technologies blockchain. Un rêve ? Non. Toutes ces révolutions sont en cours de développement !  

En conclusion, la quatrième révolution industrielle donne à l’ERP encore plus de sens pour dompter la complexité et le volume vertigineux d’informations disponibles et collectées. Il devient donc crucial d’être doté des dernières innovations et de garder un ERP actualisé et ouvert sur le futur.

A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique

que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,

la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.

Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.

Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.

Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.

Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.

Comptable en uniforme

Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour

s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.

Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.

Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement

chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard

il intègre l’ESN Viseo. 

Premiers contacts

Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics. 

 "De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°

Sources :

. The Fourth Industrial Revolution, Klaus Schwab

https://law.unimelb.edu.au/__data/assets/pdf_file/0005/3385454/Schwab-The_Fourth_Industrial_Revolution_Klaus_S.pdf

. How the factory of today becomes the factory of the future, EY Study

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_industrielle

. Industry 4.0 How to navigate digitization of the manufacturing sector, McKinsey Digital 2015

https://www.mckinsey.com/~/media/McKinsey/Business%20Functions/Operations/Our%20Insights/Industry%2040%20How%20to%20navigate%20digitization%20of%20the%20manufacturing%20sector/Industry-40-How-to-navigate-digitization-of-the-manufacturing-sector.as

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